« Nous devons tous quelque chose à Kertész». Henri Cartier-Bresson.

Dans l’œuvre de Kertész on perçoit un sens de la douceur de la vie, un plaisir libre et enfantin dans la beauté du monde et la préciosité de la vue. Et lui aura plongé dans le monde avec son œil tendre, parfois narquois, en se considérant toujours comme « un amateur »

Pourtant il fut en quelque sorte le père spirituel de bien des photographes, Brassaï, Henri Cartier-Bresson…

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André Kertész (1894 – 1985) Chez Mondrian, Paris 1926
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